Cela faisait plusieurs années que la galerie Arcturus n’avait pas présenté une exposition des sculptures de Marta Moreu, une des artistes espagnoles de la première heure de la galerie Arcturus.
Lidia Masllorens, espagnole également, a rejoint l’équipe plus récemment, en 2018, lors de sa première exposition en dehors de son pays natal.
Ce face à face, les yeux dans les yeux, de ces deux femmes nous parle de l’humain dans toute sa profondeur, son mystère, sa force mais aussi la fugacité de son passage.
Les grands visages de Lidia Masllorens ont une beauté intemporelle et éternelle, ils sont idéalisés et en même temps tellement présents et captivants qu’ils donnent énergie et confiance dans la vie.
Les bronzes de Marta Moreu sont-ils en équilibre ou en déséquilibre ? En tout cas ils sont vivants, ils occupent l’espace autant par les pleins que par les vides, ils bougent, ils flottent, ils nous emmènent en voyage dans une autre dimension. Ils sont vibrants car on sent la main de l’artiste qui a façonné la cire et par la patine faite de couches nuancées évoquant la patine du temps, procurant un aspect irisé.
Lidia Masllorens, espagnole également, a rejoint l’équipe plus récemment, en 2018, lors de sa première exposition en dehors de son pays natal.
Ce face à face, les yeux dans les yeux, de ces deux femmes nous parle de l’humain dans toute sa profondeur, son mystère, sa force mais aussi la fugacité de son passage.
Les grands visages de Lidia Masllorens ont une beauté intemporelle et éternelle, ils sont idéalisés et en même temps tellement présents et captivants qu’ils donnent énergie et confiance dans la vie.
Les bronzes de Marta Moreu sont-ils en équilibre ou en déséquilibre ? En tout cas ils sont vivants, ils occupent l’espace autant par les pleins que par les vides, ils bougent, ils flottent, ils nous emmènent en voyage dans une autre dimension. Ils sont vibrants car on sent la main de l’artiste qui a façonné la cire et par la patine faite de couches nuancées évoquant la patine du temps, procurant un aspect irisé.